21 lignes – Point de vue : libre – genre : carnet de voyage – nom : tu
12 octobre 2011
Tu es parti un soir d’été,
La nuit était claire et chaude,
Tu avais ton pyjama léger.
Tu étais beau dans cette nuit, tu m’aimais.
Tu as voyagé dans le temps sans argent,
Ton âme et ton cœur étaient en avant,
Et tous tes sens étaient en émoi.
Rappelles-toi, ces soirs d’été, tu nageais au milieu des dauphins,
Tu me tendais la main et m’emmenais dans cette mouvance d’embrun.
Ton corps flottait jusqu’au petit matin rempli d’amour et de chagrin,
Rappelles-toi ce sable chaud, tu t’y roulais avec délectation,
Et moi, je regardais avec passion cette étendue d’eau à l’infini.
Tu peux un jour combler tes envies en voyageant tout endormi dans ton paradis.
Tu m’as raconté tes voyages et tes aventures dans la toundra,
Mais tu ne m’as jamais raconté les soirs d’été ou tu dormais entre mes bras.
Le désert t’attend, il comblera le vide de ta vie,`
Tu entendras le sable rouler sous tes pas et les dunes s’étendre à perte de vue,
Ouvres grands tes yeux à cette oasis qui s’éveille devant toi et assouvis ta soif,
Ta soif d’amour, de joie et de repos, ouvres ton corps à cette immensité.
Ouvres-toi à la vie, tu es cette vie !
Laisse ton Ame et ton Cœur s’ouvrir à cette immensité.
Louizette
Louizette
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Tu es là comme une touriste, tu es là comme une femme qui cherche, tu es là, les rickshaws pétaradent, les balayeuses balaient, les vaches paressent, les hommes cuisinent, les shivas dansent, les bouddhas rigolent, les croix scintillent au néon, les croissants étoilés se balancent dans le ciel, les collines couvertes de théiers pètent d’un vert à vous regonfler un foie fatigué et toi tu es là, tu baguenaudes, tu observes, tu marches, tu manges, ici ou là-bas, tu cherches… la paix.